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Les paramédics de Repentigny se donnent un mandat de grève

Souhaitant donner un nouvel élan à la présente négociation, la Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) a reçu hier soir un mandat de grève de la part de sa section locale de Repentigny.

C’est par un vote de 100 % que les paramédics de Repentigny ont donné le mandat à la FTPQ de déclencher des moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève. Au cours des prochaines semaines, l’ensemble de celles-ci se prononceront sur la question.

« D’ici la mi-décembre, l’ensemble des paramédics de la FTPQ se seront prononcés en faveur de la possibilité d’une grève. Le message sera clair et nous nous assurerons de relayer le message aux élus du Québec » a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

Les paramédics veulent un contrat de travail négocié. Ils demandent notamment un changement de rangement dans la structure salariale et une réévaluation de la classe d’emploi des paramédics. Nous demandons également une augmentation de salaire de 3 % pour chacune des années du contrat, des mécanismes pour assurer la prise d’une période de repas pendant leur quart de travail, des améliorations au régime de retraite visant à baisser l’âge de la retraite sans pénalité à 55 ans, ainsi qu’une baisse du coût des assurances collectives et l’abolition des horaires de faction.

La FTPQ est un syndicat majeur dans le domaine du préhospitalier. Nous sommes le seul syndicat indépendant exclusif de paramédics au Québec. La FTPQ est un syndicat affilié au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) qui représente plus de 17 000 paramédics au Canada, ainsi qu’à la FTQ, la plus grosse centrale syndicale au Québec.

Les paramédics de la FTPQ se donnent un premier mandat de grève

Souhaitant donner un nouvel élan à la présente négociation, la Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) a reçu ce soir un premier mandat de grève de la part d’une de ses sections locales.

C’est par un vote de 98 % que les paramédics de Beloeil/Boucherville ont donné le mandat à la FTPQ de déclencher des moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève. C’est le premier vote de grève qui se tenait dans une section locale de la FTPQ dans le cadre de la présente négociation. Au cours des prochaines semaines, l’ensemble de celles-ci se prononceront sur la question.

« D’ici la mi-décembre, l’ensemble des paramédics de la FTPQ se seront prononcés en faveur de la possibilité d’une grève. Le message sera clair et nous nous assurerons de relayer le message aux élus du Québec » a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

Les paramédics veulent un contrat de travail négocié. Ils demandent notamment un changement de rangement dans la structure salariale et une réévaluation de la classe d’emploi des paramédics. Nous demandons également une augmentation de salaire de 3 % pour chacune des années du contrat, des mécanismes pour assurer la prise d’une période de repas pendant leur quart de travail, des améliorations au régime de retraite visant à baisser l’âge de la retraite sans pénalité à 55 ans, ainsi qu’une baisse du coût des assurances collectives et l’abolition des horaires de faction.

La FTPQ est un syndicat majeur dans le domaine du préhospitalier. Nous sommes le seul syndicat indépendant exclusif de paramédics au Québec. La FTPQ est un syndicat affilié au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) qui représente plus de 17 000 paramédics au Canada, ainsi qu’à la FTQ, la plus grosse centrale syndicale au Québec.

Les paramédics québécois méritent le rangement 18

La Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) a profité de la rencontre de négociation du 12 novembre 2021 pour préciser ses demandes à propos d’un changement de structure salariale en proposant aux représentants gouvernementaux et patronaux d’instaurer une échelle salariale s’inspirant du rangement 18 des échelles salariales du gouvernement du Québec.

En plus du passage au rangement 18, la FTPQ demande des bonifications salariales pour chacune des années du contrat de travail.

C’est suite à une analyse exhaustive et rigoureuse des tâches exécutées et des responsabilités des paramédics québécois que la FTPQ fait cette demande afin que le travail accompli quotidiennement par les paramédics du Québec soit reconnu à sa juste valeur. C’est une question d’équité et de respect.

Les paramédics de la FTPQ veulent un contrat de travail négocié. Ils demandent notamment un changement de la structure salariale en plus d’augmentations de salaire substantielles pour chacune des années du contrat, des mécanismes pour assurer la prise d’une période de repas pendant leur quart de travail, des améliorations au régime de retraite visant à baisser l’âge de la retraite, une baisse du coût des assurances collectives et l’abolition des horaires de faction.

Une salle d’urgence fermée, c’est inacceptable !

La Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) est scandalisée par les directives données aux paramédics de Senneterre dans le cadre de la fermeture de la salle d’urgence du CLSC de Senneterre.

En plus d’éliminer la possibilité d’arrêt à la salle d’urgence de Senneterre pour les stabiliser, les patients dont la condition est instable devront subir de longs transports sans d’abord être vus par un médecin. Les patients dont l’état est stable et qui sont suivis dans certains centres hospitaliers de la région ne pourront quant à eux être dirigés vers l’hôpital où ils ont l’habitude d’être traités. C’est notamment le cas des femmes enceintes suivies à Amos qui devront se rendre invariablement vers l’hôpital de Val-D’Or.

Si dans certaines régions du Québec, les paramédics peuvent donner du Fentanyl, une médication pour atténuer la douleur des patients, ce n’est pas le cas pour les paramédics de l’Abitibi-Témiscamingue. L’implantation du constat de décès à distance, qui évite le transport du corps de personnes décédées, se fait également attendre dans la région. Ces lacunes sont tributaires d’un manque de rigueur de la part du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue qui s’est traîné les pieds depuis quelques années et a négligé la formation continue des paramédics.

« L’impact de la fermeture de la salle d’urgence du CLSC de Senneterre est immense sur la population et les paramédics qui les desservent. L’accès à une salle d’urgence ne devrait jamais être remis en question » a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

« Lorsque les paramédics partent pour plusieurs heures pour répondre à un appel et se rendre à Val-D’Or, le territoire risque de se retrouver sans couverture ambulancière. Dans notre travail, chaque minute compte » a pour sa part ajouté Mario Fournier, président de la FTPQ de Senneterre.

Rappelons que lorsqu’aucune ambulance n’est disponible sur le territoire desservi par les paramédics de Senneterre, l’ambulance la plus proche se trouve à environ 40 minutes de route lorsqu’elle part de Barraute (10 minutes de délai d’horaire de faction et 30 minutes de parcours) ou 45 minutes de route lorsqu’elle part de Val-D’Or.

La FTPQ est un syndicat majeur dans le domaine du préhospitalier. Nous sommes le seul syndicat indépendant exclusif de paramédics au Québec. La FTPQ est un syndicat affilié au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) qui représente plus de 17 000 paramédics au Canada, ainsi qu’à la FTQ, la plus grosse centrale syndicale au Québec.