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Les paramédics d’Acton Vale, Bedford, Granby et Saint-Hyacinthe se donnent un mandat de grève

Souhaitant donner un nouvel élan à la présente négociation, la Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) a reçu hier soir quatre mandats de grève de la part de ses sections locales de l’entreprise ambulancière privée Dessercom.

C’est par un vote de 100 % que les paramédics d’Acton Vale, Bedford, Granby et Saint-Hyacinthe ont donné le mandat à la FTPQ de déclencher des moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève. Au cours des prochaines semaines, l’ensemble de celles-ci se prononceront sur la question.

« D’ici la mi-décembre, l’ensemble des paramédics de la FTPQ se seront prononcés en faveur de la possibilité d’une grève. Le message sera clair et nous nous assurerons de relayer le message aux élus du Québec » a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

Les paramédics veulent un contrat de travail négocié. Ils demandent notamment un changement de rangement dans la structure salariale et une réévaluation de la classe d’emploi des paramédics. Nous demandons également une augmentation de salaire de 3 % pour chacune des années du contrat, des mécanismes pour assurer la prise d’une période de repas pendant leur quart de travail, des améliorations au régime de retraite visant à baisser l’âge de la retraite sans pénalité à 55 ans, ainsi qu’une baisse du coût des assurances collectives et l’abolition des horaires de faction.

La FTPQ est un syndicat majeur dans le domaine du préhospitalier. Nous sommes le seul syndicat indépendant exclusif de paramédics au Québec. La FTPQ est un syndicat affilié au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) qui représente plus de 17 000 paramédics au Canada, ainsi qu’à la FTQ, la plus grosse centrale syndicale au Québec.

Horaire de faction à Saint-Jean-Port-Joli : IL EST TEMPS DE BOUGER!

La section locale de Saint-Jean-Port-Joli de la Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ-SJPJ) est sans mot suite au dernier communiqué de l’aile parlementaire de la Coalition avenir Québec à propos des efforts des paramédics de Saint-Jean-Port-Joli qui rapportait que ses représentants avaient rencontré la députée de Côte-du-Sud à quatre reprises au cours de son dernier mandat pour discuter du manque de ressources ambulancières dans sa circonscription.

Contrairement à ce qui est affirmé dans ce communiqué, une seule rencontre entre les représentants de la FTPQ-SJPJ et la députée Marie-Ève Proulx a eu lieu depuis son élection, soit le 21 février 2021. S’il est vrai que le président de la FTPQ-SJPJ a interpellé madame Proulx lors de deux événements publics, nous ne considérons pas que de se croiser dans un corridor de centre d’achat ou lors d’une marche soient de véritables occasions où il est possible de discuter des enjeux d’une question aussi importante.

« Sans douter de la compétence et de la qualité des personnes avec qui j’ai eu la chance de discuter du dossier, je crois que le roulement de personnel au bureau de la députée ne soit pas toujours propice à régler un problème comme le nôtre. Il est temps que Mme Proulx nous indique quels sont les nouveaux critères pour la conversion de l’horaire de faction de Saint-Jean-Port-Joli et ce qu’ils signifient pour les citoyens de sa circonscription » a déclaré Stéphane Lévesque, président de la FTPQ-SJPJ.

La FTPQ-SJPJ croit qu’il ne faut pas tomber dans le conflit de personnalités et qu’il est temps d’impliquer le ministre responsable de la région Chaudière-Appalaches, monsieur André Lamontagne, qui pourra appuyer la députée de Côte-du-Sud afin de trouver une solution qui assurera les services ambulanciers auxquels ils ont droit.

Dans notre domaine, chaque minute compte. N’attendons pas de faire face à une situation que nous aurions pu éviter avant d’agir!

Les paramédics de Repentigny se donnent un mandat de grève

Souhaitant donner un nouvel élan à la présente négociation, la Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) a reçu hier soir un mandat de grève de la part de sa section locale de Repentigny.

C’est par un vote de 100 % que les paramédics de Repentigny ont donné le mandat à la FTPQ de déclencher des moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève. Au cours des prochaines semaines, l’ensemble de celles-ci se prononceront sur la question.

« D’ici la mi-décembre, l’ensemble des paramédics de la FTPQ se seront prononcés en faveur de la possibilité d’une grève. Le message sera clair et nous nous assurerons de relayer le message aux élus du Québec » a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

Les paramédics veulent un contrat de travail négocié. Ils demandent notamment un changement de rangement dans la structure salariale et une réévaluation de la classe d’emploi des paramédics. Nous demandons également une augmentation de salaire de 3 % pour chacune des années du contrat, des mécanismes pour assurer la prise d’une période de repas pendant leur quart de travail, des améliorations au régime de retraite visant à baisser l’âge de la retraite sans pénalité à 55 ans, ainsi qu’une baisse du coût des assurances collectives et l’abolition des horaires de faction.

La FTPQ est un syndicat majeur dans le domaine du préhospitalier. Nous sommes le seul syndicat indépendant exclusif de paramédics au Québec. La FTPQ est un syndicat affilié au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) qui représente plus de 17 000 paramédics au Canada, ainsi qu’à la FTQ, la plus grosse centrale syndicale au Québec.

Les paramédics de la FTPQ se donnent un premier mandat de grève

Souhaitant donner un nouvel élan à la présente négociation, la Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) a reçu ce soir un premier mandat de grève de la part d’une de ses sections locales.

C’est par un vote de 98 % que les paramédics de Beloeil/Boucherville ont donné le mandat à la FTPQ de déclencher des moyens de pression pouvant aller jusqu’à la grève. C’est le premier vote de grève qui se tenait dans une section locale de la FTPQ dans le cadre de la présente négociation. Au cours des prochaines semaines, l’ensemble de celles-ci se prononceront sur la question.

« D’ici la mi-décembre, l’ensemble des paramédics de la FTPQ se seront prononcés en faveur de la possibilité d’une grève. Le message sera clair et nous nous assurerons de relayer le message aux élus du Québec » a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

Les paramédics veulent un contrat de travail négocié. Ils demandent notamment un changement de rangement dans la structure salariale et une réévaluation de la classe d’emploi des paramédics. Nous demandons également une augmentation de salaire de 3 % pour chacune des années du contrat, des mécanismes pour assurer la prise d’une période de repas pendant leur quart de travail, des améliorations au régime de retraite visant à baisser l’âge de la retraite sans pénalité à 55 ans, ainsi qu’une baisse du coût des assurances collectives et l’abolition des horaires de faction.

La FTPQ est un syndicat majeur dans le domaine du préhospitalier. Nous sommes le seul syndicat indépendant exclusif de paramédics au Québec. La FTPQ est un syndicat affilié au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) qui représente plus de 17 000 paramédics au Canada, ainsi qu’à la FTQ, la plus grosse centrale syndicale au Québec.

Les paramédics québécois méritent le rangement 18

La Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) a profité de la rencontre de négociation du 12 novembre 2021 pour préciser ses demandes à propos d’un changement de structure salariale en proposant aux représentants gouvernementaux et patronaux d’instaurer une échelle salariale s’inspirant du rangement 18 des échelles salariales du gouvernement du Québec.

En plus du passage au rangement 18, la FTPQ demande des bonifications salariales pour chacune des années du contrat de travail.

C’est suite à une analyse exhaustive et rigoureuse des tâches exécutées et des responsabilités des paramédics québécois que la FTPQ fait cette demande afin que le travail accompli quotidiennement par les paramédics du Québec soit reconnu à sa juste valeur. C’est une question d’équité et de respect.

Les paramédics de la FTPQ veulent un contrat de travail négocié. Ils demandent notamment un changement de la structure salariale en plus d’augmentations de salaire substantielles pour chacune des années du contrat, des mécanismes pour assurer la prise d’une période de repas pendant leur quart de travail, des améliorations au régime de retraite visant à baisser l’âge de la retraite, une baisse du coût des assurances collectives et l’abolition des horaires de faction.

Une salle d’urgence fermée, c’est inacceptable !

La Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec (FTPQ, section locale SCFP 7300) est scandalisée par les directives données aux paramédics de Senneterre dans le cadre de la fermeture de la salle d’urgence du CLSC de Senneterre.

En plus d’éliminer la possibilité d’arrêt à la salle d’urgence de Senneterre pour les stabiliser, les patients dont la condition est instable devront subir de longs transports sans d’abord être vus par un médecin. Les patients dont l’état est stable et qui sont suivis dans certains centres hospitaliers de la région ne pourront quant à eux être dirigés vers l’hôpital où ils ont l’habitude d’être traités. C’est notamment le cas des femmes enceintes suivies à Amos qui devront se rendre invariablement vers l’hôpital de Val-D’Or.

Si dans certaines régions du Québec, les paramédics peuvent donner du Fentanyl, une médication pour atténuer la douleur des patients, ce n’est pas le cas pour les paramédics de l’Abitibi-Témiscamingue. L’implantation du constat de décès à distance, qui évite le transport du corps de personnes décédées, se fait également attendre dans la région. Ces lacunes sont tributaires d’un manque de rigueur de la part du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue qui s’est traîné les pieds depuis quelques années et a négligé la formation continue des paramédics.

« L’impact de la fermeture de la salle d’urgence du CLSC de Senneterre est immense sur la population et les paramédics qui les desservent. L’accès à une salle d’urgence ne devrait jamais être remis en question » a déclaré Benoit Cowell, président de la FTPQ.

« Lorsque les paramédics partent pour plusieurs heures pour répondre à un appel et se rendre à Val-D’Or, le territoire risque de se retrouver sans couverture ambulancière. Dans notre travail, chaque minute compte » a pour sa part ajouté Mario Fournier, président de la FTPQ de Senneterre.

Rappelons que lorsqu’aucune ambulance n’est disponible sur le territoire desservi par les paramédics de Senneterre, l’ambulance la plus proche se trouve à environ 40 minutes de route lorsqu’elle part de Barraute (10 minutes de délai d’horaire de faction et 30 minutes de parcours) ou 45 minutes de route lorsqu’elle part de Val-D’Or.

La FTPQ est un syndicat majeur dans le domaine du préhospitalier. Nous sommes le seul syndicat indépendant exclusif de paramédics au Québec. La FTPQ est un syndicat affilié au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) qui représente plus de 17 000 paramédics au Canada, ainsi qu’à la FTQ, la plus grosse centrale syndicale au Québec.